Que ruisselle l'encre des vers !
O grandeur de la poésie !
Un chantre ignore l'aphasie.
Sa vie étale ses avers.
Sans point tomber en frénésie,
Il murmure ses chants divers.
Ses versets fleurent l'ambroisie.
Quand le vent berce les bois verts,
Grâce à sa parfaite gnosie,
Il en fait, pour ses longs hivers,
Des flammes semant à travers
L'âme une lueur cramoisie
Chauffant sa cape aux doux revers
Ses versets fleurent l'ambroisie.
Il murmure ses chants divers
Sans point tomber en frénésie.
Sa vie étale ses avers.
Un chantre ignore l'aphasie.
O grandeur de la poésie !
Que ruisselle l'encre des vers !
Mohammed Zeïd
= Flormed =
bonjour cher med
voici un magnifique poème , je reste pantoise devant tes vers raffinés assemblés que sur deux rimes
un véritable bijou
excellente journée
mes amitiés
iris