-
Par Flormed dans Textes bruts le 6 Décembre 2016 à 12:48...coups mais ne peut supporter que soulève Ton sein quelque soupir par un chagrin jeté Sur ta vie à son aube. Ô ma douce sylphide, N'abîme pas tes yeux car ton regard splendide Éclaire mon chemin qui deviendrait aride Et ma lyre mourrait pour fuir sa pauvreté....